Mon frère DSK

La question se pose : combien vaut un DSK par rapport à un JFK, tireurs embusqués contre tireur débusqué, sa côte de popularité est tombée mais putain : respect! On reparle enfin de la France dans le monde et pas n'importe quelle France, la France qui bande, la France Viagra! La fille ainée puissante perverse aux élites violeuses, amoralement votre! La vieille Europe a encore la trique! Enterré le Berlu, va bonga bonguer ailleurs! Ici, ça nique-nique et ça strauskanise sans payer(à vérifier), viens voir le "I" majuscule de mon fond monétaire au beau milieu de mes bourses divines,  pas pareil! C'est vrai que "Nafissatou Diallo" ça fait pas riche : une Marilyn est un autre gibier qu'une femme de ménage africaine mais bon qui vous dit qu'en matière de sexe l'une ait à rendre des comptes à l'autre? DSK, grand frère, oui, bien plus "grand frère" que le Pascal de TF1, c'est certain, putain, je te vomis de faire ce que je ne puis et je te comprends en ces beaux jours où les épaules et nombrils des jeunes filles réapparaissent et luisent toujours nouvelles et appétantes, tonnes de chair fraiche giclant des bouches de métro, gracieuses silhouettes batifolant dans les rues, tapotant sur leurs smartphones... ah... si seulement nos bites pouvaient ressembler à des I-phone, on aiderait saint Steve Jobs de la pomme mordue à trouver de nouvelles applications. Pour sûr, frère Trousse-Khan, j'ai pas ton compte en banque, ta compétence à aller me faire voir chez les grecs ou ton cv à plusieurs feuilles de partouzeur mais moi aussi, j'ai souvent envie de faire nettoyer mon costume trois-pièces, je regarde à droite, à gauche, y'a toujours un cul bandant ou un généreux poitrail pour aimanter mes pupilles parfois à plus de 500 mètres de distance! Faut croire qu'on est fait pour ça, la vue baisse pour lire mais pas pour repérer des proies, nos hormones ont leur longue-vue. La raison, l'intelligence n'ont alors plus le droit de citer, juste une violente envie de baiser, de faire cambrer un corps sous les coups de nos sexes tendus, prédation, chasse à la femelle, traque, la bête est de sortie et je les imagine ces étranges créatures souvent inconscientes de l'effet réel qu'elles produisent(à part Zahia et quelques autres) danser sur ma bite puis je fuis vers d'autres fantasmes vite, on ne sait jamais, les ennuis pendent souvent au bout du gland. Evidemment, si j'avais un tant soit peu de pouvoir, de cash money, de sex à pelle, j'en cimenterais à la truelle de ces petites chattes sautillantes, souriantes presque innocentes en gros, les plus attirantes. Leurs corps nous appellent, nos sexes répondent, allo! nos couilles durcissent mère nature est aussi bien faite qu'un répondeur automatique mais voilà, il nous faudrait rester de marbre, nous ne sommes pas des animaux! Putain, c'est bien dommage! Je suis pas vraiment un mâle dominant mais parfois la liberté de baiser tout ce qui passe à portée de sexe, ça me fait rêver comme un porc lubrique, "un chimpanzé en rut" comme dirait Tristane Banon, alors évidemment, se pose la question de la réciprocité, du désir partagé, de l'age et de nos capacités réelles de séduction et de suite, ça devient plus compliqué sans parler de lois, de cautions, toutes ces complications du réel qui perforent nos rêves pornographiques éveillés. Taisez cela, vite, avant la castration chimique! Il y a les monstres et les autres, les séducteurs et les violeurs, les rêveurs et les acteurs, les prédateurs et les proies, ceux qui prennent des risques et ceux qui ont peur, nous sommes bien d'accord? Plus tellement? Le sexe ne nous rend pas plus bête, il nous révèle bête, animal sauvage capable de machiavélisme pour arriver à faire après tergiversations ce que le chien fait directement s'accordant seulement parfois un peu de temps pour sniffer le derrière à pénétrer. Comment garder sa dignité d'homme en plein coït? L'animal social est malmené. Vous grognez comme un porc en espérant faire couiner la truie que vous chevauchez(ce peut être l'inverse et l'homme peut être aussi une truie qui s'ignore évidemment) quelque chose se libère et pendant quelques secondes, vous êtes ce que vous êtes, fini les apparences, la dignité, la civilisation avant que cette image de vous vous dégoûte ou pire vous rende fier et que vous, vous  mettiez à raconter des histoires, à embellir, à romantiser l'acte bestial que vous avez tout de même un peu honte d'avoir accompli, à libertiner en variant les fréquences sonores de vos mots coquins la bouche en cul de poule, ceux qui l'assument en public sont vus comme des barbares, des animaux moins évolués et vous mentez, vous vous mentez, hypocrites là où ça gratte, vous mentez à vos femmes qui ne demandent qu'à croire à ces mensonges si beaux, plein de "poésie" cette vieille baderne perclus de vers mais qu'il est loin l'amour courtois, loin Galaad, le saint-Graal est un sexe de femme qui n'en finit plus de saigner, l'ère est aux DSK en rut, coupable ou pas peu importe, porno partout, chattes miaulant sous les coups de clics, sur la toile de jeunes araignées à la poitrine très affirmée veulent chatter avec vous, vous rencontrer(et par chance ces beautés aux corps de montagnes russes habitent toutes à coté de chez vous!!!), vous piquer là où ça fait mal, hommes frustrés par votre trop chaste comportement social imposé, vous rêvez d'abominations puis vous vous essuyez, vous vous rhabillez avant de jouer les pères la morale jusqu'à parfois vouloir éradiquer la prostitution comme si c'était possible sans stérilisation globale(et encore...nous sommes si seuls parfois que nous sommes prêts à payer pour une oreille sertie de jolis yeux de biche). Je suis comme ça aussi, en pensée pas en actes, frère dsk(même si officiellement tu n'es pas encore déclaré coupable), mais qui sait si mon esprit venait à être désinhiber par le pouvoir, l'argent, la maladie, l'alcool, les drogues ou d'autres horreurs qui nous guettent(euh le pouvoir et l'argent c'est plutôt moi qui les guette)? Ô grand khan des contrées lubriques, maître du haut Rut, il semble que tu nous aies refait sauce DSK(le BBQ français) la scène de la douche de "Psychose". Ô grand colmateur de trous humides devant l'Eternel, bandard fou ou ver peu reluisant de la grande Pomme, l'altitude de ton pouvoir nous donne le vertige  et ne me faites pas croire, vous autres, hommes(les femmes ce doit être autre chose), à des présomptions d'abstinence.